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"Y-a-t-il encore une Société pédagogique valaisanne?" (O. Freysinger, courrier des lecteurs du Nouvelliste, 3 mars 2014)

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"Le comité de la SPVAL a fait le choix de l’obstruction et de l’opposition, perdant de vue les intérêts de l’école primaire. En panne d’interlocuteur crédible, le département et ses services vont prendre les mesures utiles pour appréhender les attentes et les difficultés réelles de l’école par un autre canal en attendant que le président de la SPVAL veuille bien accepter la main tendue que je lui avais offerte il y a huit mois en lui donnant mon numéro de portable pour que nous puissions discuter de vive voix des problèmes scolaires au lieu d’emprunter la voie de la polémique médiatique." (OF, courrier des lecteurs du Nouvelliste, 3 mars 2014)
"Y-a-t-il encore une Société pédagogique valaisanne?" (O. Freysinger, courrier des lecteurs du Nouvelliste, 3 mars 2014)

 

Les temps sont durs pour l’École valaisanne, comme pour celle d’autres cantons. Les dispositions constitutionnelles ont amené le Grand Conseil, puis le Conseil d’État à décider de mesures d’économies dans tous les Départements, ce dans des délais très serrés ; la formation et la sécurité ne sont pas épargnées.

A l’annonce des mesures décidées, les associations professionnelles de l’école ont toutes pris rendez-vous auprès du service de l’enseignement et/ou auprès de moi afin d’évoquer de vive voix les difficultés à venir. Des aménagements ont été discutés, proposés, certains ayant abouti à des décisions concrètes. Si les légitimes inquiétudes demeurent, les contacts sont réguliers et s’intensifieront dès le mois de mars 2014.
La présidence de la société pédagogique valaisanne (SPVAL – école primaire) fait exception à ce processus d’échanges. Bien présente dans les médias, elle n’a formulé aucune demande de rencontre auprès du département et n’a fait aucune proposition crédible d’économie alternative, contrairement aux autres associations.

Cette communication distante avec l’employeur, via le canal public, est révélée par le site internet www.spval.ch. On y trouve, pêle-mêle, des courriers officiels, des renvois à des sites peu crédibles et des commentaires rendant impossible tout dialogue constructif. Chacun étant invité à réagir, on constate un étalage irrationnel qui condamne toute velléité de partenariat. Les commentaires sont souvent malheureux ou inadéquats, et toujours fortement émotionnels.
Le département, constatant que chacune de ses interventions sera sciemment étalée, interprétée et caricaturée, s’est retrouvé dans l’impossibilité d’instaurer un franc dialogue avec la direction de la SPVAL.

L’agression avait débuté en mai 2013, sur Canal 9. Elle s’était confirmée régulièrement, prenant une allure encore plus grossière («On a eu droit à une opération séduction, mais la SPVAL ne couche pas le premier soir») au lendemain de la première réunion de travail du chef de service de l’enseignement avec le comité de la SPVAL, le 23 janvier 2014. Cette légèreté s’est à nouveau exprimée le 20 février dernier, suite à la conférence de presse durant laquelle le chef de service et moi-même avons présenté les résultats de l’enquête menée en 2013 auprès des enseignants valaisans. Mettant en doute la parole de mille trois cent cinquante enseignantes et enseignants, la tête de la SPVAL, pourtant informée par le canal informatique officiel du département, s’est à nouveau montrée stérilement polémique, réagissant par un communiqué de presse, quand bien même les conclusions corroborent des constats formulés par ses propres membres.

Le comité de la SPVAL a fait le choix de l’obstruction et de l’opposition, perdant de vue les intérêts de l’école primaire. En panne d’interlocuteur crédible, le département et ses services vont prendre les mesures utiles pour appréhender les attentes et les difficultés réelles de l’école par un autre canal en attendant que le président de la SPVAL veuille bien accepter la main tendue que je lui avais offerte il y a huit mois en lui donnant mon numéro de portable pour que nous puissions discuter de vive voix des problèmes scolaires au lieu d’emprunter la voie de la polémique médiatique.
 
Oskar Freysinger, conseiller d’Etat
 
source : le Nouvelliste
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Michel Delalpe a écrit :
05/03/2014 11:16

Bravo Oskar!
Parler de la grossièreté de M. Jacquier juste après l'épisode du "Occupe-toi de tes fesses..." c'est très à propos! Comme dénoncer le recours aux médias en écrivant dans le Nouvelliste!
Quelle erreur de casting! Un homme spécialiste des coups de gueule et de la polémique a éventuellement sa place dans un parlement mais en aucun cas dans un exécutif. Espérons que OF reconnaîtra très vite cette évidence et qu'il aura le même réalisme que Peter Bodenmann. Espérons qu'il quittera le navire avec son capitaine avant le naufrage...

Franberg a écrit :
05/03/2014 19:14

Je veux transmettre à notre comité SPVAL, qui oeuvre sans relâche pour défendre notre école, mon soutien entier et sans faille. Je vous remercie du fond du coeur de tout le travail accompli, je vous remercie pour vos prises de positions claires et cohérentes. Vous êtes au front et sous un feu nourri, alimenté par des propos injustes, injustifiés, emplis de mauvaise foi et d'incohérences. Ces propos sont des salves tirées non de nos ennemis (en avons-nous d'ailleurs....), mais de notre propre chef de guerre qui en plein coeur de la bataille nous trahit et se retourne contre nous ! En lisant les propos du "courrier des lecteurs" du 3 mars de notre général en chef, je n'ai qu'une envie, celle de crier : NON MAIS.... AU SECOURS !!!

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