Facebook
Actions sur le document
"Y-a-t-il encore une Société pédagogique valaisanne?" - échos médiatiques
Le Nouvelliste 
Source : ici.
C'est le divorce!
Oskar Freysinger ne veut plus parler avec le président de la SPVal.
Le conseiller d'Etat Oskar Freysinger ne veut plus parler avec la Société pédagogique valaisanne (SPVal), l'association qui fédère les enseignants des classes primaires et enfantines. Pour faire part de son courroux à ses interlocuteurs institutionnels, le chef du Département de la formation a choisi le biais d'un courrier de lecteur, sous le titre "Y a-t-il encore une Société pédagogique valaisanne?", adressé au "Nou velliste". Cet article a été mis en ligne sur le site internet de votre quotidien et rapidement repris sur celui de la SPVal.
Le choix de l'opposition
Dans son courrier Oskar Frey singer écrit notamment: "Le comité de la SPVAL a fait le choix de l'obstruction et de l'opposition, perdant de vue les intérêts de l'école primaire. En panne d'interlocuteur crédible, le département et ses services vont prendre les mesures utiles pour appréhender les attentes et les difficultés réelles de l'école par un autre canal en attendant que le président de la SPVAL veuille bien accepter la main tendue que je lui avais offerte il y a huit mois en lui donnant mon numéro de portable pour que nous puissions discuter de vive voix des problèmes scolaires au lieu d'emprunter la voie de la polémique médiatique." La dernière goutte qui a fait déborder le vase d'Oskar Freysinger a été la réaction de la SPVal à la présentation du résultat du sondage effectué auprès des enseignants. "Mettant en doute la parole de 1350 enseignantes et enseignants, la tête de la SPVAL, pourtant informée par le canal informatique officiel du département, s'est à nouveau montrée stérilement polémique, réagissant par un communiqué de presse, quand bien même les conclusions corroborent des constats formulés par ses propres membres."
Le conseiller d'Etat est également mécontent de devoir constater que toutes les associations représentant les différents degrés de l'enseignement ont pris contact avec son département ou le Service de l'enseignement pour discuter des mesures d'économies qui ont été prises, alors que "la présidence de la SPVal fait exception à ce processus d'échanges" .
Contacté hier, le président de la SPVal, Didier Jacquier, n'a pas souhaité réagir.
Par JEAN-YVES GABBUD
Canal9 
Source : ici (dès 4 minutes 9 secondes)
Rhône FM 
source : ici (avec extrait audio)
Oskar Freysinger - SPVal : le bras de fer se poursuit.
Journaliste: SW
Oskar Freysinger rompt le dialogue avec la SPVAL, la Société pédagogique valaisanne. Le Chef du Département de la Formation l'a fait savoir via un courrier des lecteurs adressé au Nouvelliste et mis en ligne sur le site internet de la société. Il reproche au comité et à son président une politique d'obstruction systématique empêchant tout partenariat. Selon Oskar Freysinger, la SPVAL verse dans la polémique stérile et caricaturale, en particulier sur son site internet.
Dans son courrier, il précise que son Département et ses services vont prendre "des mesures utiles pour appréhender les attentes et difficultés réelles de l'école par un autre canal en attendant que le président de la SPVAL veuille bien accepter la main tendue".
Contacté par nos soins, Didier Jacquier n'a de son côté pas souhaité réagir "à chaud".
Mais le point de non-retour a-t-il été franchi? La réponse ci-contre d'Oskar Freysinger.
20 minutes 
Source : ici
Entre Freysinger et le SPVal, les tensions persistent
Il y a visiblement de l'eau dans le gaz entre Oskar Freysinger et la Société pédagogique. Le chef du Département de la formation s'est fendu d'un courrier des lecteurs.
Le dialogue entre le département cantonal valaisan de la formation et la société pédagogique valaisanne (SPVal) est difficile. Dans un courrier de lecteur, le chef du département Oskar Freysinger estime que ce partenaire n'est pas crédible.
Le conseiller d'Etat écrit que «le comité de la SPVal a fait le choix de l'obstruction et de l'opposition» dans son courrier diffusé mardi sur le site du «Nouvelliste». Les tensions entre le chef du département et l'organisation qui fédère les enseignants du primaire existent depuis plusieurs mois en raison des mesures d'économie proposées par le département.
(cbx/ats)
RTS 
Source : ici (avec extrait audio)
Oskar Freysinger coupe le dialogue avec les enseignants primaires du Bas-Valais
