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"Lettre au Président de la SPVal" par Kevin Pellouchoud (source: udc-valais.ch, visite : 31 mars 2014)

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Fidèle à l'une de ses nombreuses fonctions, la plateforme spval.ch recueille et publie les réactions politiques et médiatiques qui concernent l'école valaisanne et son fonctionnement. Ce texte a été trouvé sur un site politique valaisan.
"Lettre au Président de la SPVal" par Kevin Pellouchoud (source: udc-valais.ch, visite : 31 mars 2014)

"Cher Monsieur Jacquier,

En vous lisant dans Le Nouvelliste du 20 mars, je ne peux m’empêcher de réagir tant vos propos m’interpellent. Il est en effet tout à votre honneur de vouloir défendre l’école valaisanne et assurer son financement. Il est cependant moins glorieux d’avancer des arguments mensongers.

Vous utilisez le manque d’hommes dans la formation pour justifier le fait qu’il ne faille pas baisser les salaires. Mais vous êtes-vous vraiment interrogé sur le motif réel du désintérêt des hommes pour ce métier ? Sans entrer dans le débat de l’ultra-féminisation voulue de l’école valaisanne et qui montre aujourd’hui ses limites, il convient de demander aux hommes pourquoi ils ne désirent plus devenir enseignants. Permettez-moi de vous dire que je suis moi-même en formation et que les discussions entre mes collègues ne portent jamais sur le salaire. Nous, le peu d’hommes présents dans le milieu, avons en revanche plus de griefs à l’égard de la formation. Cette dernière est déconnectée des réalités du terrain et les hommes sont marginalisés dans une institution trop académique et théorique. Le problème n’est donc en aucun cas l’argent, mais bien une formation qui décourage et fait fuir un grand nombre d’hommes.

Enfin, permettez-moi de conclure en vous rappelant ceci : nous nous engageons dans l’enseignement par passion et par amour de notre prochain, car nous avons à cœur d’être au contact de l’humain pour former les générations à venir. Enseigner est une vocation et un dévouement au service du savoir et de notre société ; peu importent les notions d’argent, puisque nous avons la foi en notre métier. Il est dommage que vos années d’engagement syndical et l’esprit revanchard que l’on perçoit en filigrane de votre discours actuel après la perte du siège PLR vous aient fait perdre de vue que l’enseignement est un métier du cœur et non de l’argent.

Kevin Pellouchoud
Etudiant HEP
Président de l’UDC Entremont"

Source : UDC Valais.

 

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samuel collaud a écrit :
06/04/2014 20:57

Sans vouloir contre-argumenter un texte, je m'amuse à souligner tous ces jugements et croyances non vérifiées (Sont-elles justes ou fausses? Comment pouvons-nous s'y reposer si elles restent des croyances!)... C'est parti :
''ultra-féminisation VOULUE de l'école valaisanne'' - ah bon, mais c'est kiki voulait ça?
''qui montre aujourd'hui ses limites'' - jugement non fondé - de +, dans la construction de la phrase, on ne sait pas si M. Pellouchoud parle du débat, de l'ultra-féminisation de l'école ou de l'école valaisanne.
''il convient de demander aux hommes pourquoi ils ne désirent plus (ah bon, parce qu'ils le désiraient avant et ils ont changé d'avis?) devenir enseignants'' - Plusieurs mémoires de fin d'étude HEP ont étudié ce sujet, je vous recommande d'aller y jeter un oeil, c'est très intéressant, et utile à lire avant d'écrire des articles sur le sujet :-)
''La formation est déconnectée des réalités du terrain'' - déconnectée, ça veut dire quoi exactement? La réalité du terrain, ça veut dire quoi exactement? Voici un jugement infondé par l'auteur du texte.
''les hommes sont marginalisés'' - jugement infondé par l'auteur du texte. Ce sent-il personnellement marginalisé à la HEP?
'' institution TROP académique et théorique'' - jugement infondé par l'auteur
''une formation qui décourage et fait fuir un grand nombre d'hommes'' - croyance... D'ailleurs, je me demande si vraiment il y a des jeunes hommes qui se disent ''J'aimerais tellement être enseignant, mais j'ai entendu que la formation était trop académique alors je vais changer de voie professionnelle'' ?!
''nous nous engageons dans l'enseignement pas passion et par amour de notre prochain'' - croyance... M.Pellouchoud a-t-il fait une étude sur les raisons de l'engagement de chacun des étudiants HEP? Dans tous les cas, je l'invite à aller consulter également des mémoires de fin d'études qui ont analyser également cette problématique. Il sera certainement d'accord avec l'idée de connaître le sujet avant d'en faire une analyse et de la publier...
''former les générations à venir'' - concept intéressant : l'enseignant forme... Je vous laisse y méditer.
''enseigner est une vocation'' - il parle au nom des enseignants ou pour lui-même?

Bref, un texte riche en manquement ne permettant pas d'avancer, de faire réfléchir sur la problématique. (Ce sera mon jugement à moi, fondé toutefois - voir lignes ci-dessus).
J'invite l'auteur du texte à terminer sa formation HEP avant de la juger. J'invite l'auteur du texte, avant de juger sa formation lorsqu'il l'aura terminer, de prendre le temps d'éprouver ses connaissances et compétences dans la ''réalité du terrain'' puis d'avoir l'esprit d'analyse, de discuter l'esprit ouvert avec des personnes de tout bord, puis, s'il pense qu'il peut y avoir des améliorations à effectuer :
- à proposer des idées constructives plutôt que destructives...

Un ancien étudiant HEP qui a aimé sa formation (surtout les cours de piscine : vive la féminisation du métier :-) et un enseignant un peu fatigué de toutes ces voix de la droite dure qui démontent, râlent sans fondement, restent dans la critique et n'ont pas de propositions concrètes dans leurs textes.

Alors, j'invite l'auteur du texte à nous proposer ses idées pour une formation plus efficace ! ça, ça nous ferait avancer !

Allez hop, je m'en vais planifier une séance d'apprentissage constructiviste ! (Ben oui, depuis que j'ai appris - à la HEPVS - à en faire et en avoir fait assez pour conclure que c'est tout bénèf' pour mes élèves, j'adore ça!)

Dans tous les cas, nous sommes tous dans la réflexion pour une meilleure qualité de vie pour nos jeunes. Bravo à tous, qu'importe vos idées.

Sam

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