AD 2014 de la SPVal - échos des médias
Mesures d'économie dans l'école: la SPVAL reste sur sa faim
164 sur 170: la mobilisation des délégués de la Société Pédagogique Valaisanne a été forte samedi matin à l'occasion de leur assemblée ordinaire à Saint-Léonard.
SW
Source : Rhône FM
Examens en 4ème primaire, la SPVAL s'est officiellement positionnée. Suivant le vote de ses membres réunis en assemblée générale samedi, le comité cantonal s'est fendu d'un message sous forme de recommandations aux enseignants.
CH
Source : Rhône FM (26 mai 2014)
Le service de l'enseignement réagit à l'annonce de boycott par la SPVAL de la partie orale de l'examen de 4eme primaire. Dans un communiqué le service fait part de sa surprise. Il rappelle également que la compétence de supprimer une épreuve est de la seule compétence du Département.
GB/C
Source: Rhône FM
"Les enseignants primaires du canton ne semblent pas respecter le boycott voté lors de l'assemblée générale de la société pédagogique valaisanne.
Dans un communiqué, le service de l'enseignement annonce que les examens oraux de 4eme primaire se déroulent sans difficultés particulières, conformément aux directives.
Et si la communication et la collaboration avec la SPVal n'ont pas été idéales ces dernières semaines, le Service de l'enseignement espère des améliorations. Il attend des propositions de partenariat de la part de la société pédagogique.
GB/C"
Source : Rhône FM (2 juin 2014)
Lors de l'assemblée des délégués de la SPVal, la proposition de boycotter l'examen oral de 4P a été approuvée par 143 oui et 8 abstentions. Le comité de la société doit encore prendre une position définitive.
Les enseignants valaisans menacent de boycotter l'examen oral individuel en 4e primaire. L'assemblée des délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) a accepté, sans opposition, une proposition allant dans ce sens samedi à Saint-Léonard. Pour ne pas prétériter les élèves, les enseignants proposent de donner à tous les élèves concernés la totalité des points prévus pour cet examen.
Le mécontentement vient d'un problème organisationnel et concerne la prise en charge des classes pendant que l'entretien individuel est mené par le titulaire de la classe.
Pierre Antille, collaborateur scientifique au Service de l'enseignement, a expliqué aux délégués que ces examens ont été testés sur le terrain. Ils ont été annoncés il y a plusieurs mois aux écoles et seuls deux directeurs ont interpellé le Service pour mentionner des problèmes organisationnels.
"Nous sommes prêts au dialogue. Si après le déroulement de ces examens il s'avère que leur organisation est trop compliquée, nous sommes prêts à les reconsidérer", a déclaré Pierre Antille, qui a précisé qu'ils sont prévus dans le cadre des accords intercantonaux.
Après cet échange de points de vue, le président de la SPVal, Didier Jacquier a annoncé que son comité allait discuter de cette question et que sa décision serait transmise aux enseignants lundi matin par courriel.
Le début de l'examen oral des 4P devrait débuter lundi. Par Jean-Yves GABBUD Source : Le Nouvelliste. Pour aller plus loin : page du NF du lundi 26 mai 2014 L'examen oral de 4ème primaire aura bien lieu, mais sous la forme d'un test en blanc. Tous les élèves obtiendront 10 points sur 10...
Les délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) ont voté samedi (143 oui et 8 abstentions) en faveur d'une proposition de boycott de l'examen oral en 4ème primaire.
Après cette assemblée, le comité de la SPVal a analysé la situation. Elle demande à tous les enseignants de 4P de faire passer l'examen "sous forme de test en blanc" et d'attribuer à tous les élèves 10 points sur 10 à cette épreuve.
Les enseignants sont également invités à"porter un regard critique sur l’examen et ses conditions de passation puis communiquer les remarques au Comité Cantonal et à sa direction. Des propositions seront ensuite transmises à la commission des examens."
Dans un message mis en ligne sur son site internet, la SPVal rappelle les raisons de ce boycott, en évoquant notamment "la non prise en compte de l’avis de la représentante du comité SPVal et de celui de l’AVDEP (association des directeurs d'école) à la commission des examens", ainsi que "la façon cavalière de donner mission aux directions d’école d’assurer la mise en place de l’épreuve en « se servant » des enseignants « réquisitionnés » (enseignants d’appui, d’AC&M qui devraient quitter leur poste pour surveiller les élèves de 4P durant la passation dudit examen et ce au détriment des élèves bénéficiaires)." Par Jean-Yves GABBUD Source : site du NF L'examen oral de 4ème primaire aura bien lieu. L'association des enseignants demande d'attribuer à tous les élèves 10 points sur 10. Le Service de l'enseignement trouve cette attitude inadmissible.
Les délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) ont voté samedi (143 oui et 8 abstentions) en faveur d'une proposition de boycott de l'examen oral en 4ème primaire.
Après cette assemblée, le comité de la SPVal a analysé la situation. Elle demande à tous les enseignants de 4P de faire passer l'examen "sous forme de test en blanc" et d'attribuer à tous les élèves 10 points sur 10 à cette épreuve.
Les enseignants sont également invités à"porter un regard critique sur l’examen et ses conditions de passation puis communiquer les remarques au Comité Cantonal et à sa direction. Des propositions seront ensuite transmises à la commission des examens."
Dans un message mis en ligne sur son site internet, la SPVal rappelle les raisons de ce boycott, en évoquant notamment "la non prise en compte de l’avis de la représentante du comité SPVal et de celui de l’AVDEP (association des directeurs d'école) à la commission des examens", ainsi que "la façon cavalière de donner mission aux directions d’école d’assurer la mise en place de l’épreuve en « se servant » des enseignants «réquisitionnés» (enseignants d’appui, d’AC&M qui devraient quitter leur poste pour surveiller les élèves de 4P durant la passation dudit examen et ce au détriment des élèves bénéficiaires)." Le Service de l'enseignement réagit
Le vote de l’assemblée des délégués de la SPVal samedi concernant le boycott de la partie orale des examens de 4P «a été une surprise totale pour le Département». Jusqu’à samedi, «le Département n’a reçu aucune demande formelle de renvoi ou de modification de l'organisation de ces examens oraux cantonaux», déclare le chef du Service de l’enseignement, Jean-Marie Cleusix, dans un communiqué de presse diffusé lundi en fin d’après-midi.
Les enseignants peuvent-ils donner un 10 sur 10 à tous les élèves à cette épreuve orale? Contacté, Jean-Marie Cleusix estime que «ce serait une faute grave de donner aux élèves une autre note que celle qu’ils méritent.» Pour lui, «il n’est pas question de prendre en otage les élèves» dans cette affaire. Il note que l’assemblée des délégués de la SPVal qui a pris la décision de ce boycott «ne représente ni les directions, ni les enseignants concernés».
Les relations entre la SPVal et le Département de la formation ne semblent pas au beau fixe. Jean-Marie Cleusix indique que «la collaboration avec les associations cantonales fonctionne normalement, à l'exception de la SPVAL qui n'a pas souhaité rencontrer le service en charge de l'école ces derniers mois.»
Que va-t-il se passer maintenant? Les enseignants ont jusqu’à mercredi pour faire passer l’examen oral en 4P.
Le communiqué de presse annonce qu’un nouveau message sera diffusé lundi prochain. «Il fera le point et exposera les mesures prises par le Département.» Par Jean-Yves GABBUD Source : Le Nouvelliste. La demande de transformer l'examen oral de 4P en test en blanc lancée par le comité de la Société pédagogique valaisanne ne semble pas rencontrer un énorme succès.
L’appel au boycott de l’examen oral de 4e primaire lancé par l’assemblée des délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) ne semble pas très suivi par les enseignants. «Pour l’instant, aucun cas ne nous a été signalé», déclare le chef du Service de l’enseignement, Jean-Marie Cleusix en se référant à ses contacts avec les inspecteurs scolaires. Toutefois, le point sur la situation ne sera fait que lundi. C’est à ce moment-là que l’on saura si des enseignants ont transformé l’examen oral prévu en test en blanc et donné 10 points sur 10 à tous les élèves, comme le demande le comité de la SPVal. La direction sédunoise intervient
Certains enseignants ont reçu des consignes pour ne pas suivre les recommandations de leur association. A Sion, par exemple, le directeur des écoles Jean-Pierre Meyer a demandé aux enseignants de faire passer l’examen comme prévu par les directives du canton. Cette demande fait suite à celle diffusée par le Service de l'enseignement.
Le directeur sédunois a aussi écrit aux parents des élèves de 4e primaire. Dans son courrier, il déclare: «La direction des écoles de Sion estime que les élèves n’ont pas à être pris en otages dans un conflit opposant un syndicat d’enseignants au département. Elle désapprouve ce genre de procédé.»
Dans son courrier, Jean-Pierre Meyer précise aux parents qu’il n’a appris que lundi matin, soit le premier jour pendant lequel le fameux examen devait avoir lieu, la décision de l’assemblée des délégués de la SPVal concernant le boycott de l’examen oral de 4P. La SPVal réagit
Suite aux propos tenus par Jean-Marie Cleusix sur cette affaire du boycott, la SPVal a réagi par l’intermédiaire de son site internet. L’organisation, qui regroupe les enseignants des classes primaires et enfantines, conteste, agenda à l’appui, le fait d’avoir refusé de rencontrer les responsables du Service de l’enseignement. La SPVal demande également d’obtenir des réponses aux questions posées lors des dernières rencontres, notamment en ce qui concerne l’école enfantine, les maîtresses revendiquant une augmentation de salaire et une reconnaissance de leur mission spécifique. Par Jean-Yves GABBUD source : le Nouvelliste. L'examen oral de 4P, contesté par les enseignants, se déroule normalement. Mais le dialogue est toujours difficile entre la SPVal et l'Etat.
L'examen oral de quatrième primaire ne semble pas avoir été boycotté, selon le Service de l'enseignement.
Dans un communiqué de presse diffusé hier, il indique que "les rapports transmis par l'inspectorat ne relèvent aucune difficulté particulière" lié à cet examen qui avait fait l'objet d'un appel au boycott lors de l'assemblée des délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal).
Toutefois, cet avis n'est pas définitif, puisque les examens peuvent être menés jusqu'au 6 juin prochain, raison pour laquelle le président de la SPVal, Didier Jacquier, estime qu'il est encore trop tôt pour établir un bilan.
Le comité de la SPVal avait nuancé l'appel des délégués, en demandant aux enseignants de transformer l'examen oral en un test en blanc et en accordant 10 points sur 10 à tous les élèves. Cette demande a-t-elle été suivie? "C'est difficile de le dire, parce que les enseignants n'ont pas encore donné leurs notes" , explique Jean-Marie Cleusix.
Par contre, ce dernier a obtenu un retour en ce qui concerne le déroulement de cet examen, contesté par la SPVal en raison de soucis organisationnels. "Les inspecteurs m'ont dit que cet examen est un faux problème. Il y a des améliorations à apporter, mais il n'y a pas de révolte dans les classes."
Jean-Marie Cleusix pense qu'avec son appel au boycott, la SPVal a voulu "faire un petit bras de fer avec le département" .
Toujours est-il que le temps n'est pas au beau fixe entre le Service de l'enseignement et la SPVal. "Au cours des dernières semaines, la communication et la collaboration avec la SPVal n'a pas permis une approche concertée et sereine des dossiers en suspens. Dans une perspective de normalisation des relations avec la SPVal, le Service de l'enseignement attend ses propositions de partenariat constructif" , déclare le service dans son communiqué. "Il y a longtemps que nous faisons des propositions de partenariat" , réagit Didier Jacquier, qui ajoute, "mais pour qu'il y ait partenariat, il faut être deux?"
Autre sujet de tensions entre le Service de l'enseignement et les enseignants: la situation des maîtresses enfantines. "Jusqu'ici, on payait le temps de la récréation et le temps d'accueil. Dès l'an prochain, la loi prévoit que seul le temps d'enseignement sera payé" , résume Jean-Marie Cleusix. Comme les années enfantines et primaires vont être regroupées, (la première enfantine deviendra 1ère Harmos et la première primaire 3ème Harmos) "il ne sera pas possible d'avoir un statut différent pour la 1H" , explique-t-il. Les maîtresses enfantines se retrouveront donc avec un statut identique à celui en vigueur en primaire... Concrètement, sans changement, ces maîtresses gagneraient moins. Une situation qui n'est pas acceptée par les personnes concernées. Pour compenser, "il est possible d'augmenter le temps de travail" , commente le chef de service. Les maîtresses pourraient être employées pour des activités complémentaires, comme en animant des études dirigées ou en faisant des remplacements dans d'autres niveaux. La SPVal a émis des contre-propositions, demandant de reconnaître la spécificité de l'école enfantine et de tenir compte du temps nécessaire à l'accueil à ce niveau, une solution "qui n'engendrerait pas de coût supplémentaire pour l'Etat" , précise la société sur son site internet. La discussion est ouverte. "Pour répondre aux revendications du corps enseignant de l'école enfantine, le Service de l'enseignement recevra rapidement une délégation, puis adressera un courrier à tous les partenaires concernés", indique le Service dans son communiqué.
Source : le NF du 3 juin 2014
Les délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) ont voté le boycott de l'examen oral de français en 4e primaire. L'appel au boycott de cette séquence d'évaluation dépendra surtout des directeurs d'écoles. Si le patron des écoles de Martigny se déclare plutôt favorables à la position de la SPVal, on n'entre pas en matière à Sion où l'on qualifie la méthode de cavalière. Le département d'Oskar Freysinger, quant à lui, persiste et signe, en rappelant qu'attribuer la totalité des points à une épreuve, comme le souhaite la SPVal ne garantit plus l'égalité de traitement entre les écoliers, et que «l'éthique professionnelle de chaque praticien est remise en cause.»
Source : Canal9.
Ils estiment que le bouleversement organisationnel engendré est trop important en regard des résultats attendus. Les enseignants ont menacé de boycotter l'examen samedi lors de l'assemblée générale de la Société pédagogique valaisanne (SPVal). Lundi, le comité propose une voie de compromis: faire un exercice blanc suivi d'une critique, explique le président Didier Jacquier.
La question qui agite les enseignants est avant tout organisationnelle. L'examen est individuel. Durant ce laps de temps, le reste de la classe nécessite une surveillance.
Certains enseignants d'appui et de travaux manuels ont été réquisitionnés pour surveiller des classes. «Bouleverser l'organisation ordinaire peut être dérangeant», surtout pour des cours d'appui, dit M. Jacquier.
Les enseignants jugent que «le jeu n'en vaut pas la chandelle», précise M. Jacquier. Et de surcroît, cet examen est mal placé. Il est programmé en quatrième primaire, au milieu du second cycle d'études qui couvre les 3e, 4e, 5e et 6e années.
Le comité de la SPVal propose aux enseignants d'attribuer à tous les élèves la note maximale pour respecter la décision des délégués de l'assemblée de samedi. Il informera les directions d'écoles.
(ats)
Les rapports des inspecteurs «ne relèvent aucune difficulté particulière», communique lundi le service cantonal de l'enseignement. Il souhaite maintenant normaliser ses relations avec la SPVal.
«La communication et la collaboration avec la SPVal n'ont pas permis une approche concertée et sereine des dossiers», indique le service. Il attend des propositions constructives de partenariat de la part des enseignants.
Les enseignants avaient haussé le ton contre cet examen lors de leur assemblée de fin mai. Ils estimaient que le bouleversement organisationnel pour une telle épreuve était trop important. Maintenant que l'épreuve est passée, le service de l'enseignement constate que les directions des écoles ont parfaitement planifié et organisé l'examen.
(ats)
Source : 20 minutes
Il faut dire que les enseignants du canton attendaient des réponses précises du Département de la Formation quant à la mise en œuvre des mesures d'économie. Et ils sont restés plutôt sur leur faim aux dires du président de la SPVAl, Didier Jacquier.
Présent dans la salle au côté de son état-major, Oskar Freysinger a renvoyé la balle dans le camp du Service de l'enseignement. "Ce n'est pas du ressort d'un chef de la formation de régler des questions de détail qui se traitent en petits comités", a-t-il notamment fait valoir.
Mais, à quelques semaines de la fin de l'année scolaire, le temps presse pour la SPVAl qui n'entend pas laisser passer l'été sans avoir du concret. Elle va donc relancer le service de l'enseignement de Jean-Marie Cleusix en lui soumettant un catalogue de propositions.
A noter que la récolte des signatures pour le référendum contre les coupes budgétaires, lancé par la FMEP et soutenu par la SPVAL, se poursuit. La Fédération des magistrats, des enseignants et du personnel de l'Etat espère toujours dépasser les 3'000 signatures requises d'ici 1 mois et demi, fin du délai référendaire.
Examens à blanc en 4e : le comité de la SPVAL relaie le message
Il leur propose d'informer les directions d'école de la décision prise samedi pour un boycott de ces examens. Il recommande toutefois de faire passer l’épreuve sous forme de test en blanc puis de porter un regard critique sur l’examen et ses conditions de passation afin de transmettre ces remarques au Comité Cantonal et à sa direction. Des propositions seront ensuite transmises à la commission des examens.
Boycott des examens finaux de 4P: le service de l'enseignement réagit
La production de l'oral de 4eme primaire qui revêt un caractère obligatoire est donc maintenue. Quant à la notation de l'épreuve, elle relève du devoir professionnel de chaque enseignant tel que défini dans la législation, précise le Département, qui conclut "qu'à l'heure où l'Ecole a de vrais défis à relever, […] il ne peut accepter qu'un boycott ne ternisse l'image de l'Ecole et de l'ensemble du corps enseignant valaisan".
Examens oraux de 4P: le boycott de la SPVal pas suivi, selon le canton
Les enseignants menacent de boycotter l'examen oral de 4P
Examen oral: une note de 10 sur 10 à tous en 4e primaire
Le Service de l'enseignement dénonce le boycott d'un examen
Il ajoute: «La décision de supprimer une épreuve est de la seule compétence du Département. Par conséquent, la production de l’oral de 4P qui revêt un caractère obligatoire a été maintenue. Quant à la notation de l'épreuve, elle relève du devoir professionnel de chaque enseignant, tel que défini dans la législation.»
Le boycott de l'examen oral de 4P semble peu suivi
"Pas de révolte en classe"
Bras de fer avec le département
Propositions de partenariat
LE SALAIRE DES MAITRESSES ENFANTINES EN QUESTION
SPVal: le boycott dépend des directions d'écoles
Un examen qui n'est pas du goût des enseignants
Les examens oraux prévus par le Plan d'études romand pour les élèves de quatrième année de primaire ne font pas l'unanimité parmi les enseignants valaisans.
Des examens oraux sereins
Les délégués de la Société pédagogique valaisanne (SPVal) voulaient boycotter l'examen oral de 4e primaire. L'épreuve s'est finalement déroulée sans accroc. La menace de boycott n'a pas été concrétisée.
La période officielle pour la passation des examens de la Production Orale pour les 4P/6H est du lundi 26 mai au vendredi 6 juin 2014 selon les directives du DFS/SE.